
- 7 % des festivaliers français ont dépensé plus de 800 € pour leur festival le plus cher des six derniers mois.
- 32 % des participants utilisent une application comme tricount by bunq pour suivre et partager leurs dépenses.
- Environ 1 977 comptes tricount créés pour le HellFest, avec 115 € de dépenses en moyenne par festivalier.
Assister à un festival est une expérience inoubliable, mais son coût réel dépasse souvent les prévisions des participants. Alors que la saison des festivals touche à sa fin, une étude* menée par tricount by bunq, l’application mondiale qui simplifie le suivi des dépenses de groupe pour les vacances, les soirées et les colocation, auprès de 1 000 Français ayant assisté à au moins un festival au cours des six derniers mois révèle les dépenses inattendues qui ont grevé le budget des festivaliers et les difficultés liées au partage des coûts en groupe.
Des dépenses bien au-delà du billet
L’étude montre que les festivaliers dépensent souvent beaucoup plus que prévu pour leur festival. Interrogés sur le festival le plus cher auquel ils ont assisté dans les six derniers mois, près d’un tiers des répondants (31 %) ont déclaré avoir dépensé moins de 200 €, mais 20 % ont dépensé entre 400 et 600 € et 7 % ont dépassé les 800 €.
Les coûts supplémentaires ont été sous-estimés par la majorité : plus de la moitié des participants ont déclaré ne pas anticiper correctement leurs dépenses en boissons (52 %) et en nourriture (51 %), tandis que le transport dans le pays représentait une surprise pour 38 % et l’hébergement pour 30 %.
Les dépenses imprévues les plus fréquentes incluent les courses alimentaires de dernière minute, les taxis ou Ubers supplémentaires, et les tenues de festival achetées sur place. Les causes principales des dépenses “accidentelles” sont liées à l’impulsivité du moment (35 %), aux achats sous influence (31 %) et à la pression du groupe (26 %).
Partager les coûts : source de tensions
L’étude révèle que la gestion des dépenses en groupe reste compliquée. Près de la moitié des participants (44 %) se fient uniquement à un accord verbal, 23 % utilisent des feuilles de calcul ou des notes. Cette absence de suivi rigoureux peut générer des tensions : 25 % des participants ont déjà rencontré un conflit concernant le partage des dépenses. Pourtant, 80 % des participants pensent qu’un suivi précis des dépenses aurait permis d’éviter ces conflits.
C’est précisément pour éviter ces situations conflictuelles que 32 % des répondants ont recours à une application. Parmi eux, 32 % reconnaissent que ça leur fait prendre conscience de leurs dépenses, et 23 % constatent que ça permet d’éviter les conflits.
« Personne n’a envie de parler d’argent avec ses amis, surtout lors d’un festival », déclare Joe Wilson, Chief Evangelist chez bunq. « Pouvoir partager facilement les dépenses directement depuis son téléphone, c’est plus de temps pour se concentrer sur ce qui compte vraiment : la musique et l’expérience. »
HellFest et Tomorrowland, champions des dépenses partagées
Au-delà de l’étude, tricount by bunq a passé au crible les comptes créés sur son application à l’occasion des festivals cet été. Le BBK a été, de loin, le plus populaire auprès des utilisateurs de l’app, avec 30,7 M€ de dépenses partagées. Il est suivi par le HellFest (23,1 M€), Tomorrowland (18,8 M€) et Awakenings (11,6 M€).
*Enquête réalisée par Pollfish pour le compte de bunq en août 2025, auprès de 4 000 répondants répartis dans quatre pays : le Royaume-Uni (1 000), l’Espagne (1 000), l’Allemagne (1 000) et la France (1 000). L’objectif : comprendre comment les festivaliers au cours des six derniers mois ont géré, dépensé, partagé et suivi leurs dépenses.
À propos de bunq
Fondée en 2012 par le serial entrepreneur Ali Niknam, bunq a transformé durablement le secteur bancaire européen. En plaçant ses utilisateurs au cœur de sa stratégie et en développant un produit adapté à leurs attentes et besoins, bunq s'est rapidement imposée comme la deuxième néobanque d'Europe. bunq facilite la vie des particuliers et des entreprises ayant un mode de vie international, leur permettant ainsi de gérer leur argent de manière simple et intuitive : dépenses, épargne, budgétisation et investissements.