
Plus méfiante vis-à-vis du crédit. Soucieuse de confidentialité. Friande d’instantanéité... La génération Z bouscule les standards avec des outils à son image. En effet, celle-ci préfère utiliser des cartes prépayées comme PaysafeCard, des portefeuilles mobiles, des néobanques sans jargon ou encore, des paiements fractionnés sans intérêts. Quels usages privilégient-ils ? Pourquoi ces alternatives séduisent-elles autant ? Et comment les fintechs s’adaptent-elles à ce nouveau paysage ? Décryptage d’un virage générationnel majeur.
Ce qui caractérise la génération Z ? Son rapport pragmatique à l’argent. Plus méfiante vis-à-vis du crédit que ses aînés, en effet, elle cherche à maîtriser ses dépenses sans s'endetter. Une étude menée en 2024 par Afterpay et Cash App révèle que 63 % des jeunes Américains de 18 à 26 ans préfèrent désormais éviter les cartes de crédit. Pourquoi ? Ils leur reprochent un manque de transparence et les frais associés. En France, les derniers rapports de l’Observatoire de la sécurité des moyens de paiement confirment également l’essor des portefeuilles mobiles et des solutions alternatives. En particulier, chez les jeunes générations.
Au quotidien, cette génération privilégie les solutions qui lui permettent d’aller vite, de rester mobile, de contrôler ses dépenses en temps réel.. Et puis surtout de limiter l’exposition de ses données personnelles.
Parmi les options qui rencontrent un franc succès : les cartes prépayées. Leur principe est simple : on achète un code ou une carte physique que l’on peut ensuite utiliser pour effectuer des achats en ligne. Pas besoin d’un compte bancaire. Cette méthode rassure beaucoup de jeunes utilisateurs qui veulent éviter de transmettre leurs coordonnées bancaires sur Internet.
Parmi les acteurs majeurs de ce marché, PaysafeCard tire clairement son épingle du jeu. Disponible dans de nombreux pays européens, cette carte prépayée permet d’effectuer des paiements sur des milliers de sites en ligne, en toute simplicité. Elle est particulièrement populaire dans les univers du divertissement numérique, des jeux vidéo voire aussi des paris sportifs avec PaysafeCard.
Ce succès tient à plusieurs facteurs : l’anonymat, l’absence de frais bancaires surprises, la simplicité d’usage, et la compatibilité avec une multitude de plateformes. Avantage pour les plus jeunes : accéder à des services en ligne sans devoir attendre d'avoir une carte bancaire classique.
Autre tendance forte chez la Gén'Z : les néobanques et les solutions bancaires light. On peut citer des acteurs comme Lydia, Revolut ou Nickel qui offrent des comptes accessibles sans conditions, souvent utilisables dès l’adolescence. Ces services sont pensés pour être utilisés via une app mobile, avec des interfaces intuitives, des notifications instantanées, et des options de paramétrage très poussées.
Là encore, le succès repose sur des éléments clés : la transparence, la possibilité de suivre ses dépenses en temps réel, l’absence de jargon bancaire et l’absence de frais cachés. Revolut, par exemple, promet d’obtenir une carte virtuelle immédiatement utilisable, y compris via Apple Pay ou Google Pay, sans délai et sans contact avec un conseiller.
Nickel, pour sa part, séduit avec une formule très accessible, distribuée dans plus de 6 000 bureaux de tabac en France et sans exigence de revenus.
Du côté des usages mobiles, la génération Z adopte massivement les portefeuilles numériques. Une étude récente d’Interac au Canada indique que 69 % des jeunes adultes utilisent des wallets mobiles comme moyen de paiement principal. Pour les trajets quotidiens, une majorité préfère même se passer de portefeuille physique.
Les paiements "invisibles", où aucune carte ne change de main (par exemple via QR code ou paiement intégré dans une app), gagnent du terrain. Ils répondent parfaitement à l’attente d’une expérience utilisateur fluide, qui s’intègre naturellement à leur navigation ou à leur usage d’une plateforme.
Là encore, les cartes prépayées peuvent être utilisées pour alimenter des comptes de portefeuille ou effectuer des achats en ligne sans friction, y compris dans des environnements comme les paris sportifs.
Enfin une solution particulièrement prisée : le paiement fractionné, ou BNPL ("Buy Now, Pay Later"). Des services comme Klarna ou Alma permettent de payer un achat en plusieurs fois, sans intérêts dans la plupart des cas. Cette option est vue comme plus transparente et moins risquée qu’une carte de crédit.
La génération Z y voit un outil de gestion budgétaire plutôt qu’un levier de consommation à crédit. Elle s’en sert pour lisser les dépenses sans tomber dans un schéma d’endettement permanent. Certaines fintechs proposent même des notifications et alertes pour aider à garder le contrôle.
Si la carte bancaire classique perd du terrain, ce n’est pas par hasard. La Gen Z accorde une importance croissante à la confidentialité des données. Elle préfère des solutions où les informations personnelles ne circulent pas à chaque transaction. Les modèle comme PaysafeCard, qui repose sur un simple code à usage unique, répond parfaitement à cette exigence.
Une génération en quête d’autonomie et de simplicité
Ce qui caractérise la génération Z ? Son rapport pragmatique à l’argent. Plus méfiante vis-à-vis du crédit que ses aînés, en effet, elle cherche à maîtriser ses dépenses sans s'endetter. Une étude menée en 2024 par Afterpay et Cash App révèle que 63 % des jeunes Américains de 18 à 26 ans préfèrent désormais éviter les cartes de crédit. Pourquoi ? Ils leur reprochent un manque de transparence et les frais associés. En France, les derniers rapports de l’Observatoire de la sécurité des moyens de paiement confirment également l’essor des portefeuilles mobiles et des solutions alternatives. En particulier, chez les jeunes générations.
Au quotidien, cette génération privilégie les solutions qui lui permettent d’aller vite, de rester mobile, de contrôler ses dépenses en temps réel.. Et puis surtout de limiter l’exposition de ses données personnelles.
Les cartes prépayées en première ligne
Parmi les options qui rencontrent un franc succès : les cartes prépayées. Leur principe est simple : on achète un code ou une carte physique que l’on peut ensuite utiliser pour effectuer des achats en ligne. Pas besoin d’un compte bancaire. Cette méthode rassure beaucoup de jeunes utilisateurs qui veulent éviter de transmettre leurs coordonnées bancaires sur Internet.
Parmi les acteurs majeurs de ce marché, PaysafeCard tire clairement son épingle du jeu. Disponible dans de nombreux pays européens, cette carte prépayée permet d’effectuer des paiements sur des milliers de sites en ligne, en toute simplicité. Elle est particulièrement populaire dans les univers du divertissement numérique, des jeux vidéo voire aussi des paris sportifs avec PaysafeCard.
Ce succès tient à plusieurs facteurs : l’anonymat, l’absence de frais bancaires surprises, la simplicité d’usage, et la compatibilité avec une multitude de plateformes. Avantage pour les plus jeunes : accéder à des services en ligne sans devoir attendre d'avoir une carte bancaire classique.
L’essor des néobanques et des comptes sans banque
Autre tendance forte chez la Gén'Z : les néobanques et les solutions bancaires light. On peut citer des acteurs comme Lydia, Revolut ou Nickel qui offrent des comptes accessibles sans conditions, souvent utilisables dès l’adolescence. Ces services sont pensés pour être utilisés via une app mobile, avec des interfaces intuitives, des notifications instantanées, et des options de paramétrage très poussées.
Là encore, le succès repose sur des éléments clés : la transparence, la possibilité de suivre ses dépenses en temps réel, l’absence de jargon bancaire et l’absence de frais cachés. Revolut, par exemple, promet d’obtenir une carte virtuelle immédiatement utilisable, y compris via Apple Pay ou Google Pay, sans délai et sans contact avec un conseiller.
Nickel, pour sa part, séduit avec une formule très accessible, distribuée dans plus de 6 000 bureaux de tabac en France et sans exigence de revenus.
Portefeuilles mobiles et paiements invisibles
Du côté des usages mobiles, la génération Z adopte massivement les portefeuilles numériques. Une étude récente d’Interac au Canada indique que 69 % des jeunes adultes utilisent des wallets mobiles comme moyen de paiement principal. Pour les trajets quotidiens, une majorité préfère même se passer de portefeuille physique.
Les paiements "invisibles", où aucune carte ne change de main (par exemple via QR code ou paiement intégré dans une app), gagnent du terrain. Ils répondent parfaitement à l’attente d’une expérience utilisateur fluide, qui s’intègre naturellement à leur navigation ou à leur usage d’une plateforme.
Là encore, les cartes prépayées peuvent être utilisées pour alimenter des comptes de portefeuille ou effectuer des achats en ligne sans friction, y compris dans des environnements comme les paris sportifs.
L’attrait croissant pour le paiement fractionné
Enfin une solution particulièrement prisée : le paiement fractionné, ou BNPL ("Buy Now, Pay Later"). Des services comme Klarna ou Alma permettent de payer un achat en plusieurs fois, sans intérêts dans la plupart des cas. Cette option est vue comme plus transparente et moins risquée qu’une carte de crédit.
La génération Z y voit un outil de gestion budgétaire plutôt qu’un levier de consommation à crédit. Elle s’en sert pour lisser les dépenses sans tomber dans un schéma d’endettement permanent. Certaines fintechs proposent même des notifications et alertes pour aider à garder le contrôle.
Sécurité, anonymat et contrôle : les moteurs du changement
Si la carte bancaire classique perd du terrain, ce n’est pas par hasard. La Gen Z accorde une importance croissante à la confidentialité des données. Elle préfère des solutions où les informations personnelles ne circulent pas à chaque transaction. Les modèle comme PaysafeCard, qui repose sur un simple code à usage unique, répond parfaitement à cette exigence.