L’Observatoire de la Fintech, publie la mise à jour annuelle de son étude sur les tendances de la Fintech en France et dans le monde – avec ses partenaires KPMG, Mastercard et eToro, et plus de 30 contributrices et contributeurs expert de la Fintech, de la Banque, de l’Assurance, de l’Investissement et de la Transformation des services financiers.
Selon les résultats de notre étude présentés dans la publication « L’Année de la Fintech 2025 », plusieurs tendances majeures se dégagent à fin novembre :
Après une reprise solide en 2024 (+20%) et un premier semestre 2025 bien orienté, le financement de la Fintech française a nettement ralenti au second semestre. Sur l’ensemble de l’année, les montants levés reculent ainsi de 22%, à 1,1 milliard d’euros, contre 1,3 milliard en 2024. Les investisseurs ont également renforcé leur sélectivité, entraînant une baisse du nombre d’opérations, de 101 à 73 (–28%), et une contraction des tickets financés.
Cette contre-performance résulte d’un faisceau de facteurs : une conjoncture macroéconomique plus incertaine, un pipeline réduit de nouveaux projets Fintech, un déplacement de l’attention des investisseurs vers les acteurs de l’IA, ainsi qu’une vigilance accrue sur les valorisations. L’ensemble a conduit à un net resserrement des conditions de financement.
Quelques signaux positifs émergent néanmoins. L’appétit des acteurs traditionnels pour l’innovation financière s’est traduit par un volume élevé d’opérations de M&A, incluant une opération « licorne » en fin d’année et le rachat de Shine par Cegid, première acquisition de cette envergure dans l’histoire des Fintech françaises. Ces mouvements confirment à la fois l’intérêt stratégique des consolidateurs et la dynamique structurante de la finance embarquée. Autre fait marquant : l’IPO de Younited dans le SPAC Iris Financial porté par Ripplewood.
Sur le plan sectoriel, des métiers moins en vue par le passé, comme l’investissement, s’imposent en 2025 parmi les premières catégories financées. Ils sont suivis par les activités BtoB — finance embarquée, services et cybersécurité — puis par le financement et l’assurtech.
Côté emploi, le moral des fondatrices et fondateurs Fintech reste robuste : les effectifs du secteur progressent encore de 10 % en 2025, comme en 2024 et 2023, avec un bassin de 38.000 postes.
À l’international, les tendances s’inscrivent avec un léger recul de 2 % de l’indice #Fintech40, affecté par les déceptions de certains poids lourds cotés (Fiserv, PayPal, Block). Mais l’année 2025 marque le retour en force des IPO, avec 42 introductions en bourse totalisant près de 10 milliards de dollars — des volumes trois à six fois supérieurs à 2024 et 2023. Parmi les plus significatives : Circle (1,1 Md$), Klarna (1,4 Md$) et Chime (0,9 Md$). Dans ce contexte, la France confirme sa position de leader de la fintech en Europe continentale.
Selon les résultats de notre étude présentés dans la publication « L’Année de la Fintech 2025 », plusieurs tendances majeures se dégagent à fin novembre :
- Un écosystème stable
La France compte 554 fintechs actives ayant déjà procédé à une levée de fonds, confirmant la maturité et la résilience du secteur.
- Répartition des financements par métiers
Parmi les neuf familles identifiées, l’investissement occupe la première place en 2025 avec 24 % des montants levés.
Les métiers BtoB, notamment la finance embarquée et la cybersécurité, continuent d’attirer les investisseurs (25 % des fonds levés), même si leur poids relatif diminue de moitié cette année.
En cumul historique, l’assurtech demeure en tête avec 2,5 Md€, devant le paiement (1,8 Md€). Au total, les métiers BtoB ont capté 2,9 Md€ depuis les débuts de l’écosystème.
- Une année contrastée pour les levées de fonds
▷ –22 % en montants levés en 2025 vs 2024
▷ 1,1 Md€ levés, contre 1,3 Md€ l’an dernier
▷ Un 2ème semestre faible (-67%) après un premier trimestre dynamique (+32%)
▷ 12 Md€ au total levés depuis la naissance de l’écosystème
▷ 73 opérations en 2025, contre 101 en 2024
▷ 1 seul méga-deal, comme en 2023, contre 3 opérations >100 M€ en 2024
- Mais un M&A particulièrement actif
Avec 42 opérations en 2025, dont une première opération “licorne”, le marché confirme son dynamisme, avec également une IPO via un SPAC. L’âge moyen des cibles reste stable, autour de 12 ans d’existence.
- Un taux d’échec faible et stabilisé
14 cessations d’activité ont été recensées en 2025, soit environ 4 % des fonds levés cumulés (100 fintechs en tout depuis 2016). À noter : aucune fintech qui a cessé son activité cette année n’avait levé plus de 20 M€.
- Un marché de l’emploi toujours bien orienté
Le secteur comptabilise environ 38 000 salariés, en hausse de 10 %, rythme identique à 2023 et 2024.
- Une dynamique internationale en ligne avec la France
La France conserve son rang de leader de la fintech en Europe continentale.
▷ Le #Fintech40 recule légèrement de 2 %, reflétant les contre-performances de plusieurs grandes valeurs cotées (Fiserv, PayPal, Block).
▷ En parallèle, 2025 marque le grand retour des IPO fintech :
42 introductions ont permis de lever près de 10 Md$, soit 3 à 6 fois les volumes de 2024 et 2023.
Parmi les plus emblématiques : Circle (1,1 Md$), Klarna (1,4 Md$), Chime (0,9 Md$).
L'Année de la Fintech 2025
Après une reprise solide en 2024 (+20%) et un premier semestre 2025 bien orienté, le financement de la Fintech française a nettement ralenti au second semestre. Sur l’ensemble de l’année, les montants levés reculent ainsi de 22%, à 1,1 milliard d’euros, contre 1,3 milliard en 2024. Les investisseurs ont également renforcé leur sélectivité, entraînant une baisse du nombre d’opérations, de 101 à 73 (–28%), et une contraction des tickets financés.
Cette contre-performance résulte d’un faisceau de facteurs : une conjoncture macroéconomique plus incertaine, un pipeline réduit de nouveaux projets Fintech, un déplacement de l’attention des investisseurs vers les acteurs de l’IA, ainsi qu’une vigilance accrue sur les valorisations. L’ensemble a conduit à un net resserrement des conditions de financement.
Quelques signaux positifs émergent néanmoins. L’appétit des acteurs traditionnels pour l’innovation financière s’est traduit par un volume élevé d’opérations de M&A, incluant une opération « licorne » en fin d’année et le rachat de Shine par Cegid, première acquisition de cette envergure dans l’histoire des Fintech françaises. Ces mouvements confirment à la fois l’intérêt stratégique des consolidateurs et la dynamique structurante de la finance embarquée. Autre fait marquant : l’IPO de Younited dans le SPAC Iris Financial porté par Ripplewood.
Sur le plan sectoriel, des métiers moins en vue par le passé, comme l’investissement, s’imposent en 2025 parmi les premières catégories financées. Ils sont suivis par les activités BtoB — finance embarquée, services et cybersécurité — puis par le financement et l’assurtech.
Côté emploi, le moral des fondatrices et fondateurs Fintech reste robuste : les effectifs du secteur progressent encore de 10 % en 2025, comme en 2024 et 2023, avec un bassin de 38.000 postes.
À l’international, les tendances s’inscrivent avec un léger recul de 2 % de l’indice #Fintech40, affecté par les déceptions de certains poids lourds cotés (Fiserv, PayPal, Block). Mais l’année 2025 marque le retour en force des IPO, avec 42 introductions en bourse totalisant près de 10 milliards de dollars — des volumes trois à six fois supérieurs à 2024 et 2023. Parmi les plus significatives : Circle (1,1 Md$), Klarna (1,4 Md$) et Chime (0,9 Md$). Dans ce contexte, la France confirme sa position de leader de la fintech en Europe continentale.
Mikaël Ptachek et François Faure, respectivement Président et Secrétaire Général de l’Observatoire de la Fintech
« Après le rebond de 2024, le financement de la Fintech s’est contracté en 2025 avec 1,1 milliard d’euros levés et 73 opérations, reflet d’investisseurs plus sélectifs et très mobilisés sur l’IA. Malgré ce contexte, l’écosystème demeure solide : les métiers BtoB restent attractifs, l’emploi progresse encore de 10 %, et l’activité M&A atteint un niveau historique, confirmant la place centrale de la Fintech dans l’innovation financière », indique Mikaël Ptachek, Président de l’Observatoire de la Fintech.
« En 2025, la France signe une nouvelle année très active en M&A avec 42 opérations, dont une première transaction “licorne”. Cette dynamique, portée par les scale-ups fintechs, éditeurs de logiciel, fonds Private équity et les corporates confirme la maturité du marché et le rôle structurant du M&A dans la consolidation de la fintech », indique Emmanuel Papadacci-Stephanopoli, Vice-Président de l’Observatoire de la Fintech.
« i[Plusieurs textes structurants sont entrés en vigueur cette année — MiCA, DORA ou encore lerèglement sur l’instant payment — et vont durablement transformer l’environnement dans lequel évoluent les fintechs. Les acteurs aujourd’hui enregistrés PSAN disposent jusqu’à fin juin 2026 pour obtenir l’agrément MiCA, mais seuls trois fintechs l’ont obtenu à ce jour auprès de l’AMF. Quant au règlement DORA, sa mise en œuvre est encore en cours chez la plupart des assujettis, les normes techniques n’ayant été finalisées qu’en mars dernier », précise François Faure, Secrétaire Général de l’Observatoire de la Fintech.
« En 2025, la Fintech entre dans une phase de maturité où la valeur se mesure à la robustesse, à la conformité et à l’impact réel sur les usages. L’essor du B2B, de la finance embarquée et des technologies comme la blockchain montre combien les infrastructures deviennent centrales. Chez Mastercard, nous soutenons les acteurs qui renforcent la sécurité, la fluidité et la résilience du secteur financier, afin de construire un écosystème innovant et durable », commente Johanna Lorent, Vice-Présidente, Head of Digital Partners, Mastercard.
« La capitalisation boursière totale des 40 entreprises de l’indice #Fintech40 progresse de 7 % en 2025 pour atteindre 892 milliards de dollars, portée par l’arrivée de six nouvelles fintechs au sein de l’indice. Au 30 novembre, le Fintech40 affiche néanmoins un léger repli de 2 %, un contraste marqué avec la forte dynamique des marchés actions traditionnels — le Nasdaq 100 gagne 20 % et le CAC 40 progresse de 10 %. Composé de 40 fintechs internationales cotées, le Fintech40 reste un baromètre essentiel du secteur : depuis sa base 100 début 2018, il enregistre une progression cumulée de 106 %, soit une performance annualisée solide de 9,5 % sur la période 2018–2025 », indique Antoine Fraysse-Soulier, Responsable en France de l’analyse des Marchés eToro.
« Les investissements mondiaux dans la fintech repartent à la hausse en 2025, pour la première fois depuis le pic de 2021, portés par les États-Unis, avec une activité M&A particulièrement soutenue dans les services de paiement ainsi qu’un retour marqué du capital-investissement, notamment dans les fintechs liées à la crypto. L’année a également été marquée par une vague d’introductions en Bourse aux Etats-Unis qui consacre la maturité des fintechs nées dans les années 2010. La profondeur du marché américain et l’assouplissement déjà engagé du cadre réglementaire alimentent cette dynamique. Reste désormais à savoir si l’Europe verra émerger des rapprochements capables de créer des acteurs de taille critique, en mesure de rivaliser avec leurs homologues américains », indique François Assada, Associé KPMG en France, Responsable du Marché Fintech.
« En 2025, la France signe une nouvelle année très active en M&A avec 42 opérations, dont une première transaction “licorne”. Cette dynamique, portée par les scale-ups fintechs, éditeurs de logiciel, fonds Private équity et les corporates confirme la maturité du marché et le rôle structurant du M&A dans la consolidation de la fintech », indique Emmanuel Papadacci-Stephanopoli, Vice-Président de l’Observatoire de la Fintech.
« i[Plusieurs textes structurants sont entrés en vigueur cette année — MiCA, DORA ou encore lerèglement sur l’instant payment — et vont durablement transformer l’environnement dans lequel évoluent les fintechs. Les acteurs aujourd’hui enregistrés PSAN disposent jusqu’à fin juin 2026 pour obtenir l’agrément MiCA, mais seuls trois fintechs l’ont obtenu à ce jour auprès de l’AMF. Quant au règlement DORA, sa mise en œuvre est encore en cours chez la plupart des assujettis, les normes techniques n’ayant été finalisées qu’en mars dernier », précise François Faure, Secrétaire Général de l’Observatoire de la Fintech.
« En 2025, la Fintech entre dans une phase de maturité où la valeur se mesure à la robustesse, à la conformité et à l’impact réel sur les usages. L’essor du B2B, de la finance embarquée et des technologies comme la blockchain montre combien les infrastructures deviennent centrales. Chez Mastercard, nous soutenons les acteurs qui renforcent la sécurité, la fluidité et la résilience du secteur financier, afin de construire un écosystème innovant et durable », commente Johanna Lorent, Vice-Présidente, Head of Digital Partners, Mastercard.
« La capitalisation boursière totale des 40 entreprises de l’indice #Fintech40 progresse de 7 % en 2025 pour atteindre 892 milliards de dollars, portée par l’arrivée de six nouvelles fintechs au sein de l’indice. Au 30 novembre, le Fintech40 affiche néanmoins un léger repli de 2 %, un contraste marqué avec la forte dynamique des marchés actions traditionnels — le Nasdaq 100 gagne 20 % et le CAC 40 progresse de 10 %. Composé de 40 fintechs internationales cotées, le Fintech40 reste un baromètre essentiel du secteur : depuis sa base 100 début 2018, il enregistre une progression cumulée de 106 %, soit une performance annualisée solide de 9,5 % sur la période 2018–2025 », indique Antoine Fraysse-Soulier, Responsable en France de l’analyse des Marchés eToro.
« Les investissements mondiaux dans la fintech repartent à la hausse en 2025, pour la première fois depuis le pic de 2021, portés par les États-Unis, avec une activité M&A particulièrement soutenue dans les services de paiement ainsi qu’un retour marqué du capital-investissement, notamment dans les fintechs liées à la crypto. L’année a également été marquée par une vague d’introductions en Bourse aux Etats-Unis qui consacre la maturité des fintechs nées dans les années 2010. La profondeur du marché américain et l’assouplissement déjà engagé du cadre réglementaire alimentent cette dynamique. Reste désormais à savoir si l’Europe verra émerger des rapprochements capables de créer des acteurs de taille critique, en mesure de rivaliser avec leurs homologues américains », indique François Assada, Associé KPMG en France, Responsable du Marché Fintech.
A propos de l’Observatoire de la Fintech
L'Observatoire de la Fintech est une Association loi 1901 qui a pour objectif de diffuser la connaissance du secteur de la Fintech en France. L'Observatoire coopère avec d'autres organismes équivalents à l'International. Il est piloté par un bureau de 10 personnes, opérant dans la Fintech, dans la Banque, dans l'Assurance et dans le Conseil (www.fintech-metrix.com). L'activité de l'Observatoire consiste à fournir une veille stratégique à l'ensemble des acteurs de l'écosystème : fintech, fonds d'investissement, banques assurances, sociétés de gestion d'actif, incubateurs...) à travers la Publication "L'Année de la Fintech" et "Le Semestre de la Fintech" (2 éditions par an) qui servent de référence dans le secteur. La diffusion de la connaissance s'effectue également par le biais d’intervention de professionnels de l’Observatoire dans le cadre de formations en entreprise ou de conférences publiques. L'Observatoire intervient également dans l'enseignement, en intervenant un Semestre par an au MSc Entrepreneurs des Ecoles Polytechnique et HEC, et au sein du Master Banque-Finance-Technologies 224 de l'Université Paris-Dauphine, notamment. www.fintech-metrix.com
A propos de KPMG en France
KPMG, acteur majeur de l’Audit, du Conseil et du Droit et Fiscalité, réunit en France 7 200 professionnels au service des grands comptes et ETI en France sur tout le territoire et les pays d’Afrique francophone. KPMG, partenaire de confiance et de compétitivité, sécurise leur information financière et non financière, les accompagne dans leurs transactions, soutient leurs transformations, technologiques, opérationnelles et environnementales. Grâce à son modèle multidisciplinaire, KPMG combine des expertises sectorielles et s’appuie sur ses Centres d’Excellence Tech et ESG en France pour soutenir les projets de croissance durable de tous les acteurs économiques. KPMG offre à ses clients la force d’un réseau mondial présent dans 142 pays et se singularise par sa proximité territoriale en France. Depuis 2022, KPMG est une entreprise à mission, avec pour raison d’être d’œuvrer et d’innover avec passion au cœur de l’économie, des territoires et de la société, pour bâtir la confiance, allier performance et responsabilité, faire grandir les talents. Présidé par Marie Guillemot, le Directoire de KPMG en France est composé de Damien Allo, Mustapha Oussedrat, Pierre Planchon et Axel Rebaudières.
À propos de Mastercard
Mastercard dynamise l’économie et renforce le pouvoir des consommateurs dans plus de 200 pays et territoires à travers le monde. En collaboration avec nos clients, nous construisons une économie durable où chacun peut prospérer. Nous soutenons une large gamme de solutions de paiement numérique, rendant les transactions sûres, simples, intelligentes et accessibles. Nos technologies de pointe, nos innovations, partenariats et réseaux réunis offrent un ensemble unique de produits et de services, qui aident les porteurs de cartes, les entreprises et les gouvernements à exploiter leur plein potentiel.
A propos d’eToro
eToro est une plateforme de trading et d’investissement qui vous permet d’investir, de partager et d’apprendre. Fondée en 2007, notre ambition était de créer un monde où chacun pourrait investir de manière simple et transparente. Aujourd’hui, nous comptons 40 millions d’utilisateurs inscrits dans 75 pays. Nous croyons au pouvoir de la connaissance partagée et sommes convaincus que l’investissement collaboratif peut aider chacun à réussir davantage. C’est pourquoi nous avons créé une communauté d’investissement où vous trouverez les outils nécessaires pour développer vos compétences et votre patrimoine. Sur eToro, vous pouvez détenir une large gamme d’actifs traditionnels ou innovants et choisir votre approche : trader directement, investir dans un portefeuille, ou copier d’autres investisseurs.
L'Observatoire de la Fintech est une Association loi 1901 qui a pour objectif de diffuser la connaissance du secteur de la Fintech en France. L'Observatoire coopère avec d'autres organismes équivalents à l'International. Il est piloté par un bureau de 10 personnes, opérant dans la Fintech, dans la Banque, dans l'Assurance et dans le Conseil (www.fintech-metrix.com). L'activité de l'Observatoire consiste à fournir une veille stratégique à l'ensemble des acteurs de l'écosystème : fintech, fonds d'investissement, banques assurances, sociétés de gestion d'actif, incubateurs...) à travers la Publication "L'Année de la Fintech" et "Le Semestre de la Fintech" (2 éditions par an) qui servent de référence dans le secteur. La diffusion de la connaissance s'effectue également par le biais d’intervention de professionnels de l’Observatoire dans le cadre de formations en entreprise ou de conférences publiques. L'Observatoire intervient également dans l'enseignement, en intervenant un Semestre par an au MSc Entrepreneurs des Ecoles Polytechnique et HEC, et au sein du Master Banque-Finance-Technologies 224 de l'Université Paris-Dauphine, notamment. www.fintech-metrix.com
A propos de KPMG en France
KPMG, acteur majeur de l’Audit, du Conseil et du Droit et Fiscalité, réunit en France 7 200 professionnels au service des grands comptes et ETI en France sur tout le territoire et les pays d’Afrique francophone. KPMG, partenaire de confiance et de compétitivité, sécurise leur information financière et non financière, les accompagne dans leurs transactions, soutient leurs transformations, technologiques, opérationnelles et environnementales. Grâce à son modèle multidisciplinaire, KPMG combine des expertises sectorielles et s’appuie sur ses Centres d’Excellence Tech et ESG en France pour soutenir les projets de croissance durable de tous les acteurs économiques. KPMG offre à ses clients la force d’un réseau mondial présent dans 142 pays et se singularise par sa proximité territoriale en France. Depuis 2022, KPMG est une entreprise à mission, avec pour raison d’être d’œuvrer et d’innover avec passion au cœur de l’économie, des territoires et de la société, pour bâtir la confiance, allier performance et responsabilité, faire grandir les talents. Présidé par Marie Guillemot, le Directoire de KPMG en France est composé de Damien Allo, Mustapha Oussedrat, Pierre Planchon et Axel Rebaudières.
À propos de Mastercard
Mastercard dynamise l’économie et renforce le pouvoir des consommateurs dans plus de 200 pays et territoires à travers le monde. En collaboration avec nos clients, nous construisons une économie durable où chacun peut prospérer. Nous soutenons une large gamme de solutions de paiement numérique, rendant les transactions sûres, simples, intelligentes et accessibles. Nos technologies de pointe, nos innovations, partenariats et réseaux réunis offrent un ensemble unique de produits et de services, qui aident les porteurs de cartes, les entreprises et les gouvernements à exploiter leur plein potentiel.
A propos d’eToro
eToro est une plateforme de trading et d’investissement qui vous permet d’investir, de partager et d’apprendre. Fondée en 2007, notre ambition était de créer un monde où chacun pourrait investir de manière simple et transparente. Aujourd’hui, nous comptons 40 millions d’utilisateurs inscrits dans 75 pays. Nous croyons au pouvoir de la connaissance partagée et sommes convaincus que l’investissement collaboratif peut aider chacun à réussir davantage. C’est pourquoi nous avons créé une communauté d’investissement où vous trouverez les outils nécessaires pour développer vos compétences et votre patrimoine. Sur eToro, vous pouvez détenir une large gamme d’actifs traditionnels ou innovants et choisir votre approche : trader directement, investir dans un portefeuille, ou copier d’autres investisseurs.

Actus AssurTech / InsurTech


