
Investir dans les cryptoactifs ou les métaux précieux séduit de plus en plus de Français en quête de diversification patrimoniale. Or ces actifs alternatifs obéissent à des règles fiscales précises et souvent méconnues. Il est donc important d’expliquer l’essentiel à connaître pour rester en conformité, sans se perdre dans les méandres réglementaires.
Crypto : pas de taxation tant qu'on ne vend pas
Bonne nouvelle pour les détenteurs de crypto : tant que vous n’échangez pas vos actifs contre des euros ou que vous ne les utilisez pas pour payer, aucune taxe ne s’applique. Les simples conversions entre cryptomonnaies ne déclenchent pas l’impôt.
C’est uniquement lors d’une cession vers de la monnaie fiat que la fiscalité entre en jeu. Et là encore, seule la plus-value est taxée, pas la totalité de la somme. Le contribuable a le choix entre la flat tax de 30% ou le barème progressif de l’impôt sur le revenu, selon sa situation.
Deux points de vigilance :
Or, argent, platine : attention à la preuve d’achat
Dans le cas des métaux précieux, tout dépend de la forme de l’actif et de la capacité à prouver le prix d’achat. Sans justificatif, une taxe forfaitaire s’applique à la revente : 11,5% pour les métaux précieux, 6,5% pour les bijoux, jetons et pièces de collection.
Mais si vous disposez d’un document d’achat, vous pouvez opter pour le régime des plus-values réelles (36,2 %), avec un abattement progressif jusqu’à une exonération totale après 22 ans de détention.
Les cessions de moins de 5000€ sont souvent exonérées, sous conditions. Une déclaration via le formulaire 2091 SD est requise, sauf en cas de vente par un intermédiaire professionnel.
Crypto : pas de taxation tant qu'on ne vend pas
Bonne nouvelle pour les détenteurs de crypto : tant que vous n’échangez pas vos actifs contre des euros ou que vous ne les utilisez pas pour payer, aucune taxe ne s’applique. Les simples conversions entre cryptomonnaies ne déclenchent pas l’impôt.
C’est uniquement lors d’une cession vers de la monnaie fiat que la fiscalité entre en jeu. Et là encore, seule la plus-value est taxée, pas la totalité de la somme. Le contribuable a le choix entre la flat tax de 30% ou le barème progressif de l’impôt sur le revenu, selon sa situation.
Deux points de vigilance :
- Les ventes annuelles inférieures à 305 € sont exonérées.
- Les plateformes étrangères doivent être déclarées (formulaire 3916 bis).
Or, argent, platine : attention à la preuve d’achat
Dans le cas des métaux précieux, tout dépend de la forme de l’actif et de la capacité à prouver le prix d’achat. Sans justificatif, une taxe forfaitaire s’applique à la revente : 11,5% pour les métaux précieux, 6,5% pour les bijoux, jetons et pièces de collection.
Mais si vous disposez d’un document d’achat, vous pouvez opter pour le régime des plus-values réelles (36,2 %), avec un abattement progressif jusqu’à une exonération totale après 22 ans de détention.
Les cessions de moins de 5000€ sont souvent exonérées, sous conditions. Une déclaration via le formulaire 2091 SD est requise, sauf en cas de vente par un intermédiaire professionnel.

A propos de CrypCool :
Partie intégrante du groupe AuCOFFRE, CrypCool est une plateforme française sécurisée et spécialisée dans les cryptomonnaies, basée à Bordeaux. CrypCool sélectionne uniquement les actifs les plus fiables du marché : Bitcoin (BTC) et Ethereum (ETH) mais aussi VeraOne (VRO), la crypto or du groupe AuCOFFRE qui permet de protéger son portefeuille contre la volatilité des marchés. Cette diversité permet à ses clients de sécuriser et d’équilibrer leur portefeuille d’actifs numériques.

Partie intégrante du groupe AuCOFFRE, CrypCool est une plateforme française sécurisée et spécialisée dans les cryptomonnaies, basée à Bordeaux. CrypCool sélectionne uniquement les actifs les plus fiables du marché : Bitcoin (BTC) et Ethereum (ETH) mais aussi VeraOne (VRO), la crypto or du groupe AuCOFFRE qui permet de protéger son portefeuille contre la volatilité des marchés. Cette diversité permet à ses clients de sécuriser et d’équilibrer leur portefeuille d’actifs numériques.