
Lors d’un appel aux résultats particulièrement attendu pour faire le point sur les retours liés à l’IA, les prévisions d’investissements et les enjeux réglementaires, Meta Platforms (META) a publié des résultats spectaculaires au deuxième trimestre, dépassant largement les attentes de Wall Street et confirmant sa position de leader dans la publicité digitale et l’innovation en intelligence artificielle.
L’entreprise a affiché un chiffre d’affaires de 47,5 milliards de dollars, en hausse de 22 % sur un an, et un bénéfice par action de 7,14 dollars, bien au-dessus du consensus établi à 5,88 dollars. Son activité publicitaire principale reste solide, portée par un meilleur ciblage grâce à l’IA et une hausse de l’engagement des utilisateurs sur des plateformes comme Reels et Threads. Les impressions publicitaires ont augmenté de 19 %, tandis que le prix moyen par publicité a progressé de 6 %, signe d’une demande soutenue et d’un fort pouvoir de fixation des prix.
Les investisseurs ont accueilli ces résultats avec enthousiasme : l’action Meta a grimpé de plus de 10 % après la clôture, soutenue à la fois par ces performances et par des prévisions optimistes pour le 3e trimestre, avec un chiffre d’affaires attendu allant jusqu’à 49 milliards de dollars. La stratégie IA du groupe prend de l’ampleur : son modèle Llama et son assistant Meta AI approchent désormais le milliard d’utilisateurs mensuels. Si Reality Labs continue d’afficher des pertes importantes, les efforts de Meta pour investir massivement dans les infrastructures IA et les talents semblent porter leurs fruits. La société a révisé à la hausse ses dépenses d’investissement annuelles, désormais estimées entre 66 et 72 milliards de dollars, preuve de sa volonté de dominer le secteur de l’IA, même si cela pèse à court terme sur ses marges. Par ailleurs, son engagement financier considérable, avec des offres pouvant atteindre 300 millions de dollars sur quatre ans pour attirer les meilleurs chercheurs en IA, illustre sa rivalité féroce avec OpenAI ou Anthropic dans la course à la « superintelligence ».
Dans l’ensemble, le cœur de métier de Meta reste solide et profite de la vague de l’IA qu’elle contribue elle-même à façonner. La machine publicitaire tourne à plein régime. Toutefois, l’intensité de ses investissements signifie que l'efficacité opérationnelle sera scrutée de près dans les prochains trimestres. Les risques réglementaires en Europe et un contexte mondial incertain pourraient continuer de peser sur la perception du marché. Cela dit, Meta démontre sa capacité à faire croître à la fois son chiffre d’affaires et ses bénéfices, tout en se positionnant à la pointe de la prochaine révolution technologique. Son action a grimpé de plus de 760 % par rapport à son point bas de 2022 — c’est le monde de Zuck, et nous n’y sommes que locataires.
L’entreprise a affiché un chiffre d’affaires de 47,5 milliards de dollars, en hausse de 22 % sur un an, et un bénéfice par action de 7,14 dollars, bien au-dessus du consensus établi à 5,88 dollars. Son activité publicitaire principale reste solide, portée par un meilleur ciblage grâce à l’IA et une hausse de l’engagement des utilisateurs sur des plateformes comme Reels et Threads. Les impressions publicitaires ont augmenté de 19 %, tandis que le prix moyen par publicité a progressé de 6 %, signe d’une demande soutenue et d’un fort pouvoir de fixation des prix.
Les investisseurs ont accueilli ces résultats avec enthousiasme : l’action Meta a grimpé de plus de 10 % après la clôture, soutenue à la fois par ces performances et par des prévisions optimistes pour le 3e trimestre, avec un chiffre d’affaires attendu allant jusqu’à 49 milliards de dollars. La stratégie IA du groupe prend de l’ampleur : son modèle Llama et son assistant Meta AI approchent désormais le milliard d’utilisateurs mensuels. Si Reality Labs continue d’afficher des pertes importantes, les efforts de Meta pour investir massivement dans les infrastructures IA et les talents semblent porter leurs fruits. La société a révisé à la hausse ses dépenses d’investissement annuelles, désormais estimées entre 66 et 72 milliards de dollars, preuve de sa volonté de dominer le secteur de l’IA, même si cela pèse à court terme sur ses marges. Par ailleurs, son engagement financier considérable, avec des offres pouvant atteindre 300 millions de dollars sur quatre ans pour attirer les meilleurs chercheurs en IA, illustre sa rivalité féroce avec OpenAI ou Anthropic dans la course à la « superintelligence ».
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A propos d’eToro
eToro est un réseau d'investissement social qui permet aux gens d'accroître leurs connaissances et leur richesse en faisant partie d'une communauté mondiale d'investisseurs. eToro a été fondé en 2007 avec la vision d'ouvrir les marchés mondiaux afin que chacun puisse négocier et investir de manière simple et transparente. Aujourd'hui, eToro est une communauté mondiale de plus de 30 millions d'utilisateurs enregistrés qui partagent leurs stratégies d'investissement ; et chacun peut suivre les approches de ceux qui ont le mieux réussi. Grâce à la simplicité de la plateforme, les utilisateurs peuvent facilement acheter, conserver et vendre des actifs, surveiller leur portefeuille en temps réel et effectuer des transactions quand ils le souhaitent.
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eToro est régulé en Europe par la Cyprus Securities and Exchange Commission et régulé au Royaume-Uni par la Financial Conduct Authority et par la Australian Securities and Investments Commission en Australie.
Les cryptoactifs sont des instruments volatils qui peuvent fluctuer fortement dans un laps de temps très court et ne conviennent donc pas à tous les investisseurs. En dehors des CFD, la négociation de crypto-monnaies n'est pas réglementée et n'est donc supervisée par aucun cadre réglementaire européen. Votre capital est à risque.
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