L’intelligence artificielle (IA) s’impose désormais comme le moteur de la transformation des infrastructures de paiement. Face à l’explosion des transactions numériques – 266 milliards d’opérations en temps réel dans le monde en 2023, un volume qui devrait plus que doubler d’ici 2028 –, les acteurs du paiement exploitent l’IA pour gagner en sécurité et en efficacité.
Trois utilisations principales de l’IA se dégagent déjà :
Les nouvelles formes d’IA, notamment les agents semi-autonomes, ouvrent cependant des perspectives d’évolution technologique qui dépasseront rapidement les bouleversement qu’apportent déjà le machine learning et l’IA générative.
Nous vous invitons, en partenariat avec La Place, à faire le point, en présence des principales fintechs du marché et d’un organisme majeur dans le traitement des flux de paiements en France, en charge du financement de la protection sociale : l’URSSAF.
Trois utilisations principales de l’IA se dégagent déjà :
- Miser sur l’IA pour optimiser la conversion, automatiser la lutte contre la fraude et réduire les coûts sur l’ensemble du parcours de paiement ;
- S’appuyer sur l’IA pour renforcer la conformité, la détection de fraude et la lutte contre le blanchiment, avec une approche prédictive et adaptative ;
- Utiliser l’IA pour enrichir et catégoriser la donnée bancaire et accélérer les décisions de trésorerie.
Les nouvelles formes d’IA, notamment les agents semi-autonomes, ouvrent cependant des perspectives d’évolution technologique qui dépasseront rapidement les bouleversement qu’apportent déjà le machine learning et l’IA générative.
Nous vous invitons, en partenariat avec La Place, à faire le point, en présence des principales fintechs du marché et d’un organisme majeur dans le traitement des flux de paiements en France, en charge du financement de la protection sociale : l’URSSAF.