Séduits par la promesse de soutenir les futurs champions de l’économie et d’obtenir des rendements élevés, de plus en plus de particuliers investissent dans des startups. Un engouement renforcé par les émissions télévisées qui mettent en lumière de jeunes entreprises prometteuses et font découvrir l’entrepreneuriat au grand public. Pourtant, derrière cet enthousiasme se cachent des risques souvent sous-estimés : manque de diversification, absence de due diligence, complexité juridique ou encore illiquidité totale des titres. Fundora, première plateforme française dédiée à l’investissement en fonds de venture capital pour les particuliers, alerte sur ces écueils et rappelle que le capital-risque ne s’improvise pas.
L’investissement direct dans une startup est intrinsèquement risqué : 7 à 9 jeunes pousses sur 10 échouent, et seules 1 à 2 génèrent des rendements significatifs. En misant sur quelques projets isolés, un particulier s’expose à une forte volatilité, sans garantie de retour sur investissement. À l’inverse, les fonds de venture capital répartissent les risques sur un portefeuille de 30 à 50 participations, diversifiées par secteur, zone géographique et stratégie, afin d’augmenter les chances de performance globale.
Autre erreur fréquente : investir sans réelle analyse de fond. De nombreux particuliers se laissent séduire par un pitch convaincant sans vérifier la solidité des fondamentaux tels que la validation du produit par le marché, sa taille, l’équilibre de l’équipe, la structure juridique… Or, ce travail d’évaluation exige une expertise technique et un temps considérable.
Les investisseurs particuliers sous-estiment également la complexité administrative et juridique du non-coté : clauses de dilution, pactes d’actionnaires, fiscalité des plus-values, reporting inexistant… Autant de contraintes qui peuvent transformer l’expérience d’investissement en un véritable casse-tête et de très faibles revenus.
À cela s’ajoute une autre réalité : la sortie d’un investissement dans une startup est rarement rapide ou simple. Les titres sont illiquides et leur revente quasi impossible avant une opération majeure (rachat ou introduction en bourse). Les fonds, eux, disposent d’un horizon d’investissement défini, généralement entre 7 à 10 ans, avec une stratégie de sortie planifiée.
Enfin, beaucoup de particuliers peinent à assurer le suivi de leurs participations. Sans publication de comptes ni reporting standardisé, comprendre la performance réelle d’une startup relève souvent de la spéculation.
« Investir dans une startup ne devrait pas relever du hasard. Le venture capital, lorsqu’il est bien structuré, repose sur une méthodologie éprouvée : diversification, analyse rigoureuse et accompagnement dans la durée. Chez Fundora, notre ambition est de rendre cette discipline accessible à tous, sans en perdre la rigueur », déclare Bradley Lafond, CEO et co-fondateur de Fundora.
Avec cette approche, Fundora entend rendre le capital-risque plus accessible tout en conservant les standards professionnels en proposant notamment des investissements à partir de 100 euros, dans un cadre encadré et transparent.
L’investissement direct dans une startup est intrinsèquement risqué : 7 à 9 jeunes pousses sur 10 échouent, et seules 1 à 2 génèrent des rendements significatifs. En misant sur quelques projets isolés, un particulier s’expose à une forte volatilité, sans garantie de retour sur investissement. À l’inverse, les fonds de venture capital répartissent les risques sur un portefeuille de 30 à 50 participations, diversifiées par secteur, zone géographique et stratégie, afin d’augmenter les chances de performance globale.
Autre erreur fréquente : investir sans réelle analyse de fond. De nombreux particuliers se laissent séduire par un pitch convaincant sans vérifier la solidité des fondamentaux tels que la validation du produit par le marché, sa taille, l’équilibre de l’équipe, la structure juridique… Or, ce travail d’évaluation exige une expertise technique et un temps considérable.
Les investisseurs particuliers sous-estiment également la complexité administrative et juridique du non-coté : clauses de dilution, pactes d’actionnaires, fiscalité des plus-values, reporting inexistant… Autant de contraintes qui peuvent transformer l’expérience d’investissement en un véritable casse-tête et de très faibles revenus.
À cela s’ajoute une autre réalité : la sortie d’un investissement dans une startup est rarement rapide ou simple. Les titres sont illiquides et leur revente quasi impossible avant une opération majeure (rachat ou introduction en bourse). Les fonds, eux, disposent d’un horizon d’investissement défini, généralement entre 7 à 10 ans, avec une stratégie de sortie planifiée.
Enfin, beaucoup de particuliers peinent à assurer le suivi de leurs participations. Sans publication de comptes ni reporting standardisé, comprendre la performance réelle d’une startup relève souvent de la spéculation.
« Investir dans une startup ne devrait pas relever du hasard. Le venture capital, lorsqu’il est bien structuré, repose sur une méthodologie éprouvée : diversification, analyse rigoureuse et accompagnement dans la durée. Chez Fundora, notre ambition est de rendre cette discipline accessible à tous, sans en perdre la rigueur », déclare Bradley Lafond, CEO et co-fondateur de Fundora.
Avec cette approche, Fundora entend rendre le capital-risque plus accessible tout en conservant les standards professionnels en proposant notamment des investissements à partir de 100 euros, dans un cadre encadré et transparent.
À propos de Fundora
Fundora est la première plateforme digitale française dédiée à l’investissement en private equity pour les particuliers. Fondée en 2025, elle vise à démocratiser l’accès à des opportunités d’investissement performantes, avec un seuil d’entrée à 100 €. Soutenue par des experts de la finance et de l’innovation, Fundora combine technologie de pointe et rigueur réglementaire pour offrir une expérience inédite.
À noter : Investir via Fundora comporte des risques : perte partielle ou totale en capital et risque d’illiquidité. Attention : les performances passées ne présagent pas des performances futures. Les particuliers sont invités à consulter l’intégralité des mentions légales et des avertissements disponibles sur le site avant toute souscription.
Lire aussi : Lancement de Fundora, la première plateforme qui rend les fonds de private equity accessible à tous dès 100€
Fundora est la première plateforme digitale française dédiée à l’investissement en private equity pour les particuliers. Fondée en 2025, elle vise à démocratiser l’accès à des opportunités d’investissement performantes, avec un seuil d’entrée à 100 €. Soutenue par des experts de la finance et de l’innovation, Fundora combine technologie de pointe et rigueur réglementaire pour offrir une expérience inédite.
À noter : Investir via Fundora comporte des risques : perte partielle ou totale en capital et risque d’illiquidité. Attention : les performances passées ne présagent pas des performances futures. Les particuliers sont invités à consulter l’intégralité des mentions légales et des avertissements disponibles sur le site avant toute souscription.
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Actus AssurTech / InsurTech


