
Fluidification des parcours d’achat à la lumière du “tout digital” : Dans un contexte d’évolution croissante des usages vers le paiement dématérialisé, les nouveaux acteurs devront diminuer les temps d'attente pour les consommateurs grâce à des parcours d’achat renouvelant ou supprimant le passage en caisse. Par quels leviers ?
Il est vrai que la digitalisation du paiement s’est accélérée cette année et tout porte à croire qu’elle va se poursuivre et se globaliser en 2025. D’après notre étude Lyf pour OpinionWay, 64% des Français entendent utiliser le paiement mobile en magasin cette année et 47% le wallet digital (1). L’écosystème du paiement va devoir s’adapter à ces nouvelles tendances en optimisant et en digitalisant les parcours d’achat des consommateurs.
Cette dernière année, le magasin physique revient en force dans les stratégies commerciales des retailers. Ils investissent sur la qualité de l’expérience client offerte en magasin, en s’attaquant aux irritants pour se rapprocher d’une expérience sans couture, comme celle qui existe sur le web.
Le premier facteur de mécontentement des clients en magasin, c’est l’attente en caisse. Chez Lyf, nous avons donc travaillé pour déployer deux solutions qui permettent de s’en affranchir.
Tout d’abord le « Scan and Pay », qui consiste à équiper les vendeurs d’une solution d’encaissement mobile qui leur permet d’encaisser les clients directement dans les rayons. Avec son smartphone, le commerçant scanne les produits sélectionnés par le client et ce dernier les paye avec sa carte bancaire, via un « tap » sans contact sur le téléphone du vendeur.
Il y a ensuite le « Scan and Go », qui permet au consommateur de scanner ses achats et de les régler en toute autonomie, depuis son téléphone, sans passer par la caisse. Ces solutions sont notamment déployées au sein des boutiques Total Energies, chez Brico Dépôt et dans certains magasins Carrefour.
Mais lutter contre l’attente en magasin, c’est aussi fluidifier le passage en caisse traditionnel. Et cela peut passer par l’intégration de fonctionnalités de paiement au sein des applications mobiles des retailers, aux côtés des cartes de fidélité, des bons d’achats et des tickets de caisse dématérialisés. Nous les accompagnons également dans cette voie, pour proposer une expérience de paiement mobile complète, fluide et en un seul geste
Élargissement de l’acceptation des moyens de paiement dématérialisés : Wero, paiement instantané, titres restaurants dématérialisés… Comment les enseignes de la distribution et de la restauration peuvent s’adapter aux attentes diversifiées de leur clientèle ?
En matière d’acceptation des moyens de paiement, il y a deux sujets distincts aujourd’hui, pour les enseignes du retail et de la restauration.
Tout d’abord, elles doivent permettre à leurs clients d’utiliser leurs moyens de paiements « classiques » de manière digitalisée dans le cadre de nouveaux parcours d’achat en point de vente. Je pense par exemple aux parcours de commande et de paiement à table en restaurant. Pour qu’un client les utilise, il faut qu’il puisse payer l’addition depuis son téléphone, en utilisant sa carte Titres-restaurants combinée à sa carte bancaire si le montant de l’addition le nécessite.
Ensuite, il s’agit pour les enseignes de s’ouvrir aux nouveaux moyens de paiement qui, eux, n’existent que sous forme dématérialisée. Je pense notamment aux wallets asiatiques, comme ceux de la galaxie AliPay+, UnionPay, le brésilien Pix, et, bien sûr, au nouveau wallet européen Wero. Tous utilisent un QR Code pour initier le paiement. Nos services permettent déjà à des acteurs de la Grande distribution comme Monoprix, Franprix ou le groupe Printemps, mais également à des chaînes de restauration comme les boulangeries Bo&Mie, de réaliser simplement et rapidement l’intégration de ces nouveaux moyens de paiement, utilisés au quotidien par de plus en plus de consommateurs en France.
Sécuriser l’expérience de paiement et lutter contre la fraude. Arnaques en ligne, cagnottes frauduleuses, fuites de données… Les acteurs du paiement devront se mettre en ordre de bataille pour assurer la confidentialité des données bancaires et des informations personnelles des utilisateurs, tout en garantissant le traitement sécurisé et fluide des transactions. La législation européenne (DSP3, etc) et la stratégie nationale (plan du Comité national des moyens de paiement), qui promettent d’évoluer cette année, s'inscrivent dans cette dynamique. Comment anticiper ce sujet pour protéger les consommateurs ?
Dans le domaine du paiement, il n’y a pas de grand soir. Le développement et l’adoption de nouveaux usages comme le paiement mobile requièrent une très bonne expérience client mais aussi un fort niveau de réassurance et de confiance. Comment créer cette confiance ? En mettant en place des règles adaptées et des contrôles sérieux, pour assurer la sécurité des consommateurs, des marchands et de leurs transactions.
Tout l’enjeu est de trouver le chemin de crête entre exigences sécuritaires et fluidité de l’expérience. Cela demande de la dextérité, de nombreuses années de travail et d’apprentissage, pour mettre en place un ensemble de dispositifs pertinents, c’est-à-dire personnalisés en fonction des contextes, des profils, des montants, etc. Depuis plusieurs années, nous affinons aussi ces règles de sécurité pour notre propre usage, via notre application de paiement Lyf Pay. C’est ce qui nous permet de combiner efficacement expériences de paiement mobile et protection des consommateurs.
(1) Etude Opinion Way pour Lyf 2024, intentions d’usage
Il est vrai que la digitalisation du paiement s’est accélérée cette année et tout porte à croire qu’elle va se poursuivre et se globaliser en 2025. D’après notre étude Lyf pour OpinionWay, 64% des Français entendent utiliser le paiement mobile en magasin cette année et 47% le wallet digital (1). L’écosystème du paiement va devoir s’adapter à ces nouvelles tendances en optimisant et en digitalisant les parcours d’achat des consommateurs.
Cette dernière année, le magasin physique revient en force dans les stratégies commerciales des retailers. Ils investissent sur la qualité de l’expérience client offerte en magasin, en s’attaquant aux irritants pour se rapprocher d’une expérience sans couture, comme celle qui existe sur le web.
Le premier facteur de mécontentement des clients en magasin, c’est l’attente en caisse. Chez Lyf, nous avons donc travaillé pour déployer deux solutions qui permettent de s’en affranchir.
Tout d’abord le « Scan and Pay », qui consiste à équiper les vendeurs d’une solution d’encaissement mobile qui leur permet d’encaisser les clients directement dans les rayons. Avec son smartphone, le commerçant scanne les produits sélectionnés par le client et ce dernier les paye avec sa carte bancaire, via un « tap » sans contact sur le téléphone du vendeur.
Il y a ensuite le « Scan and Go », qui permet au consommateur de scanner ses achats et de les régler en toute autonomie, depuis son téléphone, sans passer par la caisse. Ces solutions sont notamment déployées au sein des boutiques Total Energies, chez Brico Dépôt et dans certains magasins Carrefour.
Mais lutter contre l’attente en magasin, c’est aussi fluidifier le passage en caisse traditionnel. Et cela peut passer par l’intégration de fonctionnalités de paiement au sein des applications mobiles des retailers, aux côtés des cartes de fidélité, des bons d’achats et des tickets de caisse dématérialisés. Nous les accompagnons également dans cette voie, pour proposer une expérience de paiement mobile complète, fluide et en un seul geste
Élargissement de l’acceptation des moyens de paiement dématérialisés : Wero, paiement instantané, titres restaurants dématérialisés… Comment les enseignes de la distribution et de la restauration peuvent s’adapter aux attentes diversifiées de leur clientèle ?
En matière d’acceptation des moyens de paiement, il y a deux sujets distincts aujourd’hui, pour les enseignes du retail et de la restauration.
Tout d’abord, elles doivent permettre à leurs clients d’utiliser leurs moyens de paiements « classiques » de manière digitalisée dans le cadre de nouveaux parcours d’achat en point de vente. Je pense par exemple aux parcours de commande et de paiement à table en restaurant. Pour qu’un client les utilise, il faut qu’il puisse payer l’addition depuis son téléphone, en utilisant sa carte Titres-restaurants combinée à sa carte bancaire si le montant de l’addition le nécessite.
Ensuite, il s’agit pour les enseignes de s’ouvrir aux nouveaux moyens de paiement qui, eux, n’existent que sous forme dématérialisée. Je pense notamment aux wallets asiatiques, comme ceux de la galaxie AliPay+, UnionPay, le brésilien Pix, et, bien sûr, au nouveau wallet européen Wero. Tous utilisent un QR Code pour initier le paiement. Nos services permettent déjà à des acteurs de la Grande distribution comme Monoprix, Franprix ou le groupe Printemps, mais également à des chaînes de restauration comme les boulangeries Bo&Mie, de réaliser simplement et rapidement l’intégration de ces nouveaux moyens de paiement, utilisés au quotidien par de plus en plus de consommateurs en France.
Sécuriser l’expérience de paiement et lutter contre la fraude. Arnaques en ligne, cagnottes frauduleuses, fuites de données… Les acteurs du paiement devront se mettre en ordre de bataille pour assurer la confidentialité des données bancaires et des informations personnelles des utilisateurs, tout en garantissant le traitement sécurisé et fluide des transactions. La législation européenne (DSP3, etc) et la stratégie nationale (plan du Comité national des moyens de paiement), qui promettent d’évoluer cette année, s'inscrivent dans cette dynamique. Comment anticiper ce sujet pour protéger les consommateurs ?
Dans le domaine du paiement, il n’y a pas de grand soir. Le développement et l’adoption de nouveaux usages comme le paiement mobile requièrent une très bonne expérience client mais aussi un fort niveau de réassurance et de confiance. Comment créer cette confiance ? En mettant en place des règles adaptées et des contrôles sérieux, pour assurer la sécurité des consommateurs, des marchands et de leurs transactions.
Tout l’enjeu est de trouver le chemin de crête entre exigences sécuritaires et fluidité de l’expérience. Cela demande de la dextérité, de nombreuses années de travail et d’apprentissage, pour mettre en place un ensemble de dispositifs pertinents, c’est-à-dire personnalisés en fonction des contextes, des profils, des montants, etc. Depuis plusieurs années, nous affinons aussi ces règles de sécurité pour notre propre usage, via notre application de paiement Lyf Pay. C’est ce qui nous permet de combiner efficacement expériences de paiement mobile et protection des consommateurs.
(1) Etude Opinion Way pour Lyf 2024, intentions d’usage

A propos de Lyf
Lyf est une Fintech française qui renouvelle les parcours de paiement du quotidien. Elle fournit aux enseignes de la grande distribution, aux acteurs de la restauration et aux professionnels indépendants des solutions digitales leur permettant de fluidifier leurs encaissements et de digitaliser leur relation client. Son application Lyf Pay, téléchargée près de 9 millions de fois, offre des services de paiement mobile simples et sécurisés et propose de nombreux bons plans. Lyf est soutenue dans sa croissance par des actionnaires leaders de la banque, du paiement et de la grande distribution : BNP Paribas, Crédit Mutuel , Auchan, le groupe Casino et Mastercard.
Lyf est une Fintech française qui renouvelle les parcours de paiement du quotidien. Elle fournit aux enseignes de la grande distribution, aux acteurs de la restauration et aux professionnels indépendants des solutions digitales leur permettant de fluidifier leurs encaissements et de digitaliser leur relation client. Son application Lyf Pay, téléchargée près de 9 millions de fois, offre des services de paiement mobile simples et sécurisés et propose de nombreux bons plans. Lyf est soutenue dans sa croissance par des actionnaires leaders de la banque, du paiement et de la grande distribution : BNP Paribas, Crédit Mutuel , Auchan, le groupe Casino et Mastercard.